Le retour

Cela faisait maintenant un mois que William ne s'était pas présenté au Laboratoire. Il avait jugé qu'il valait mieux se faire oublier pour un certain temps, et ce temps était justement passé ; du moins, c'est ce qu'il pensait.
Il fallait aussi avouer qu'il n'avait pas vraiment d'autre endroit ou aller depuis qu'il avait abandonné son petit appartement dans le centre ville, non pas parce que le loyer y était trop cher (il avait largement les moyens), mais parce qu'un étrange sentiment la gagnait à chaque fois qu'il rentrait dans l'immeuble en question... Comme si on le surveillait.

* Mon pauvre, tu deviens complètement paranoïaque... ! * pensa-t-il nerveusement.

C'était vrai qu'il sentait beaucoup de changement ces derniers temps. De plus, il avait eu vent des tentions qui régnaient entre les deux "clans" formés par les A.N.G.Es. et bien qu'il n'approuvait pas complètement les méthodes du Laboratoire, il ne pouvait s'empêcher de penser qu'ils en faisaient un peu trop. Après tout, ces jeunes gens n'étaient que des armes...

Cette pensée lui glaça le sang. Il s'était juré de ne plus penser une telle chose mais il ne pouvait s'en empêcher. Et puis, il avait été l'un des personnages clef de cette histoire en formant les quelques A.N.G.Es désirants de se perfectionner dans l'usage des armes à feu.

" Bonjour ! "

Dans les couloirs de la partie encore en surface du Laboratoire, il ne cessait de croiser des têtes connues. Bien sûr, il ne pouvait se permettre de continuer sa route dans adresser ses salutations, mais il n'aimait pas vraiment le fait de devoir se retourner à tout bout de champ pour répéter sans cesse le même mot.

" Ah ! Bonjour ! "

* Enfin ! L'ascenseur... Je commençais à croire que je n'y arriverais jamais ! *

William adressa un petit signe de la main au gardien qui se tenait juste à côté des détecteurs de métaux. Il déposa ensuite sa mallette sur le tapis roulant qui s'empressa de la faire disparaître dans une espèce de scanner. Résultat : des papiers, des stylos, etc.
Vint ensuite le moment fatidique : le passage en lui-même.

Un signal sonore retentit.

" Monsieur, je dois vous demander de retirer votre veste. "

William fit un pas en arrière et s'exécuta. Sous sa veste pendait un bon vieux Beretta 92F soigneusement rangé dans un Holster.

" J'ai un droit de passage pour ça. Tenez... "

Il sortit rapidement un papier de la poche de son pantalon. Il était officiel et comportait le tampon du Laboratoire.
La garde se recula et présenta ses respects ainsi que ses excuses auprès de William.

" Toutes mes excuses monsieur. Mais je suppose que vous comprenez ; la procédure ! "

Il se contenta simplement de hocher la tête et de remettre son arme au garde. Cependant, le second passage résonna de la même manière.

" Monsieur, possédez-vous une autre arme ? "

" ... Mon pacemaker. Vous voulez un mot de mon médecin ? " rétorqua-t-il en faisant un petit geste pour désigner son coeur.

" Euh... Non. Désolé. Vous pouvez passer. "

William grogna quelque chose et passa sans faire attention à la sonnerie. Il récupéra sa mallette et appuya sur le bouton d'appel de l'ascenseur. Les portes de celui-ci s'ouvrirent rapidement et il y pénétra pour se rendre au niveau -6.

" Sous-sol numéro 6 ! " souffla délicatement la voix féminine de l'ascenseur électronique. William ne put s'empêcher de penser que cette voix ressemblait étrangement à celle de sa tante... Du moins, tel qu'il s'en souvenait.

Il s'approcha calmement du bureau ou se tenait une jeune secrétaire qui semblait ensevelit sous des dizaines d'appels téléphoniques, déposa sa mallette à ses pieds et ajusta le noeud de sa cravate pour être plus présentable.

" Euh... Bonjour monsieur ! Un petit instant je vous pris ! " dit-elle, légèrement confuse.

" Aucun problème... " fit-il d'une voix qui sonnait complètement faux.

C'est alors qu'il sentit quelque chose sur son épaule. Quelqu'un avait posé une main sur son épaule.
Il se retourna et fut surpris de se retrouver en face de...

( Une place de libre ! )

yué se promenait dans le couloir regardant tout les ange et réfléchissant a se qu'il allait faire pour ne pas s'aporter la foudre de matsuro j'usque la si il faisait du mal a sakura qui vennait de s'enfuire du laboratoire. puis d'un cour passant ver l'assenceur il en vit sortir william, un scientifique qu'il connaissait bien.
il lui posa la main sur l'épaule et l'homme se retourna, yué souriait comma a son habitude en fixant l'homme avant de lui dit:

"bonjour, will, cela faisait lonttemp que nous ne t'avions vu au laboratoire, tu était malade?"

yué se doutait que se n'était pas cela pour rester un mois sans aller a son poste de travail. mais il avait tout de méme poser la question.

yué souraiit et sentait un certain hésitement dans la voie de william comme si il cachait quelque chose, mais qui ne cache rien a personne?

"non je n'ai pas enttendu parler de toi négativement, enfin... aurais-je du avoir enttendu quelque chose de spécial a ton égar?"

*laisser tomber, ok je le découvrirait bien un jours si c'est important.*

"ok, je laisse tomber."

l'homme voulais savoir se que yué avais fait, surtout si il était déborder. alors yué répondit:

"juste quelque affaire personel, sinon avec le laboratoire, je n'ai rien a dire. c'est plutot trankille pour le moment... "

yué s'aprétait a dire au revoir a will mais n'en fit rien et dit:

"dit, j'ai ammenner quelqu'un ici avec moi, je voudrait des hommede confiance,pour s'occuper d'elle, des gens que je ne serait pas obliger de faire tuer parce qu'il on fait de mauvaise chose sur ma proteger; veut tu bien le rencontrer?"